dimanche 19 avril 2015

le final Chamololl mise a l'eau du chablovelo

ma quête est exaucée j'ai trouvé mon totem!!
Petit caprice de vélonaute transsaharien:, je veux arriver à Dakar par la plage.
C'est qu'au niveau du lac rose il me faut traverser 1 km de dune pour atteindre la mer. Pour m'éviter une laborieuse manutention, Il m'est promis un quad, une jeep, un camion à touriste, mais c'est  finalement un simple aide qui arrive, mais quelle belle surprise qu'il s'agit en fait d'un chevronné chamelier qui connait l'art de faire  déblatérer  sa monture.
Avec toutes cette émerveillement, j'ai failli me faire ensabler,  les dernier tour de pédale sont totalement stressés puis s'achèvent  en happy end. 
En effet, Un fois redescendu de mon chameau, je m’aperçois que la mer commence à remonter, l'heure est grave, bloqué par la mer, je suis bon pour à nouveau 8 heures d'attente. Je pédale donc à bloc pendant une bonne heure après que la mer m'est bloqué puis relâché et quand je suis bloqué définitivement, je demande à un pécheur "ou est le goudron ?" il me réponds il est là juste derrière , ouff!! . J'inaugure en fait la nouvelle route VDN , route de plage à 4 voix !! c'est mon final   BARAKA


le Happy-end : la mer me bloque juste pour l'inauguration de la VDN  autoroute de plage??

MAKING OFF CHAMOLOLOLLLO GLOUPSSSSSS
chammotelephovore

Diama st Louis



Au matin à keur mécène, petite initiation à la frontière culturel qui m'attend: principe de base "time is money". Mon passeport tarde à m’être rendu, mon attente patiente pendant une heure assis devant la porte des bureau est un message complice bien reçu "j'ai tout mon temps et peu d'argent". Au péage du parc naturel de Diama rebelote  les 5000 sont réajusté à 2000, et finalement bonne rigolade avec les gardiens quand j'éternue sous l'emprise de leur poudre à prisé qu'il m'ont invité à partager.
Sur la piste en terre battu c'est du pilotage tout en douceur 
maman phaco et les petits
pilotage sur la piste


après 20 jours de desert retour des arbustes
Je n'étais pas censé passer la frontière de Diama car il n'y a pas d'ordinateur pour la délivrance du visa , un automobiliste serais refoulé à coup sur  mais je parie sur mon joker cycliste pour amadouer les douaniers.
Premier contact, une lourde barrière prix annoncé pour sa lever 5000 cfa. Après un sitting ferme "jai pédaler 20 jours pour venir au sénégal une barrière n'est pas si lourde après tant d'effort". Le garde barrière veux me faire promettre de rembourser le passeur qui veux m'accompagner coût que coût. 



Maintenant la police me demande de prendre un taxi 10000 cfa pour aller faire mon visa à l'aéroport,  je sens qu'il est temps de jouer la montre. Au resto à coté, un groupe des "médecins du fleuve" me questionnent longuement on parle de la situation au mali.. Après une heure je retrouve les policiers, a court d'idée je propose d'aller voir les gendarmes en attendant. Bonne pioche il m'est finalement accordé de partir et avec les encouragements des gendarmes. A l’Aéroport un policier reviens gentillement après son service rallume les machines pour me délivrer mon visa.


Arrivée a st louis l'accueil spontanée des enfants.